Table des matières

Attaque/retirement

Dans ce numero de riff-raff deux textes sont publiés, rassemblés ici un peu brutalement sous le titre honorable de « La Critique ». Les textes utilisent l'essai Communisme de l'attaque et communisme de la défection pour presenter leurs comprehensions rspectives du communisme et de la lutte des classes. L'essai sera ultériu !![följas upp???]!! d'une continuation critique et pour cette raison le texte que nous presentons ici n'est pas qu'un réponse mais aussi un « teaser » pour le texte Partie et externalité, qui est un réponse de la critique.

Nous devons commencer avec une reconnaissance que la critique explique un faute fundaméntale dans l'essai, la malconception de la rélation entre la conceptuelle et la concrète. C'est-à-dire la discussion sur le rapport entre essence et apparition. L'essai explique cette rapport comme une identité et ainsi l'essai ne comprend pas la critique de l'economie politique de Marx. Dans cette introduction brève, nous devons expliquer que cette identification entre essence et apparition n'est pas vrai. La position dans l'essai mène à quelques fautes fundamentaux et il faut une révision.

La but de cette texte n'est pas une considération de la limite de la critique presentée, mais un preséntation de la thematique de Partie et externalité, une thematique qui est un réponse tacite de la critique de l'essai. Nous devons ici précisons que cette texte est plus un postulation et moins une argumentation.

Le capital

1. Quand nous expliquons l'essence de la production capitaliste comme accumulation de valeur dans les termes hegeliennes, ainsi cette essence comporte son contraire, c'est-à-dire son non-essence, Schein de Hegel. Donc la lutte de la prolétariat contre la procès de production capitaliste est une moment qui est internalisé par l'essentialité de la production comme son negativité definitoire: Schein de l'accumulation est la lutte des classes. Accumulation est accumulation de valeur, valorisation et la negativité de l'accumulation est la lutte des classes, pour l'accumulation intensive et extensive est lutte des classes parce que l'extraction de valeur est fondée sur l'exploitation. L'exploitation est contradiction.

2. Le travail en capitalisme faut être non-capital, c'est-à-dire le valeur d'usage de le capital, le valeur d'usage qui produce la valeur tant que la travailleur ne vaux rien, sans valeur, parce qu'elle doit être intégré dans la procès de production comme un valeur d'usage productive si elle peut contribuer de la valorisation. Dans cette intégration, elle devient la factor sujectif de la procès de production, au travers de la travail de salarie, c'est-à-dire le variable qui permettre la valorisation. Si le travail est non-capital, ainsi le capital est non-travail. La conséquence de ce fait est contradiction entre capital et travail, mais cette contradiction est un définition du capitalisme parce qu'il établisse la fondement que le capital (la positivité) aussi bien que le travail (la negativité) se reposent: le procès de production et circulation comme procès de la totalité. Le procès dialectique qui pose le capital comme totalité est la rélation contradictoire et mutuelle entre capital et travail. Le lutte des classes et ainsi l'accumulation de valeur est la centre du capital, sa fondement. Parce que la fondement est l'immanence de l'essence, la fondement du capital rencontre l'essence du capital: valorisation. Ce procès pose les deux classes fundamentaux en hostilité, la contradiction première entre employeur et employée. La fondement est ainsi la nécéssité objectif qui fonde le fonctionnes subjectifs du capital: les proletaires et les capitalistes.

3. Le travailleur et le capitaliste sont fonctionnes subjectifs qui est structuré et posé de l'objectivité, accumulation de valeur, qui est l'essence de la production capitaliste. C'est l'évolution du capital à la mutualité que devient le travailleur à agent, à le sujet qui pose et ainsi reproduce capital et devient le capitaliste à la fonctionne subjectif qui internaliser le travailleur dans cette rapport par son pouvoir monetaire. La dynamique entre classes, la lutte des classes, est ainsi un dérivé de le fait que l'accumulation de valeur est le rapport, le statique, qui regule le travail et le capital comme fonctionnes subjectifs, comme être-pour-soi, de la procès objectif qu'ils fondent. Parce que le concept « essence » selon Hegel est même « fondement » l'accumulation de valeur devient le fondement sur quel le travail et le capital reste. L'accumulation de valeur est par conséquent plus primitive dans le rapport que ses deux pôles, travail et capital, qui sont les anti-thèses de la contradiction première dans capital, ainsi pour l'accumulation de valeur même. Cette contradiction est plus tôt que le travail et le capital est leur êtres-pour-soi respectifs: travailleurs et capitalistes.

4. Capital est travail objectivée, c'est-à-dire travail reifié (travail utile et abstraite) et nécessite son contraire, un pouvoir subjectif. Il nécessite d'une parte le travailleur comme producteur, d'une part le travail vivant comme travail productif. Ainsi, il nécessite une subjet de la valorisation. La constitution de la force du travail comme le subjet de la valorisation dans le procès de production apparait dans le capital parce que la force du travail comme le valeur d'usage du capital dans le procès de production objective les rapports sociales et pose le valeur comme le substance commun de les marchandises. La fondation de le travail comme la Quelle du plus-valeur pour le capital implique que le travail vivant apparait en quatre formes; travail productif et improductif, travail nécessaire et plus-travail. Le rapport de valeur comme une mésure temporale divise le travail en travail nécessaire et plus-travail parce que la logique du travail productif implique l'extraction du plus-valeur par nécessiter le plus-travail. Le travail qua non-capital devient une exteriorité au capital qua non-travail mais le capital pose le travail comme son négation et comme productif, c'est-à-dire le travail est un contraire négative du capital. Le travail comme travail vivant, comme subjectivité pure, indépendant de son forme comme force du travail, est ainsi une exteriorité au capital mais une internalité dans le rapport, accumulation de valeur, qui est plus tôt que capital ou travail. Il est internalisé parce que cette externalité interne n'est ni capable de vivre ou travail de l'extérieur du capital, ni capable de constituer comme travail vivant de l'extérieur du capital. Ainsi, le travail est le centre du production de valeur et nous ne pouvons pas comprendre le comme une externalité extérieur du capital parce que son fonctionne comme travail productif ou improductif (travail valorisant) est posé par le capital. Et tout le travail est aujourd'hui productif ou/et improductif, c'est-à-dire travail capitaliste. Le travail est ainsi une externalité intérieur du capital.

5. Le sobsomption formelle est la première stratègie du capital pour sobsomer et s'approprier le travail comme non-capital, comme prolétariat. Cette sobsomption maintène le condition de vivre qui devient le capital une totalité, parce qu'il nie le rapport sans médiations entre des humaines et des moyens de production. Cette négation et la proprieté privée. Le travail vivant, lebendige Arbeit, est internalisé dans une totalité, dans le rapport du capital, comme une exteriorité du capital. Ainsi, le sobsomption formelle engendre des travailleurs salariés mais le sobsomption réelle donne la méthode du production son caractère capitaliste. Ainsi, en constitution de la sobsomption réelle du travail le capitalisme devient une mode du production capitaliste, c'est-à-dire une societé. Le travail devient réellement non-capital, et le procès de production devient réellement procès du valorisation (c'est-à-dire capitaliste) quand le capital a métamorphosé !!« citation de Marx »!!1)

Cela implique une transition generalisé de la stratégie absolu du plus-valeur (l'extension de le temps du travail et ainsi du plus-travail) à une stratégie relative du plus-valeur, l'extraction du plus-valeur pendant l'intinsification de la rythme du production, qui métamorphose le materialité du procès de production même. C'est-à-dire, les forces productifs est determinée par les rapports de production pour une acceleration du l'exploitation. Ainsi, le sobsomption formelle implique premièrement une révolution agraire, quoique le sobsomption réelle implique la déstruction de la manufacture par l'évolution d'une industrialisation à grande échelle. Pour cette raison la transition à, et l'évolution du, sobsombtion réelle nécessite une periodisation si nous voulons elle comprendre historiquement-réelle et pas que analytique-logique.

6. Le sobsomption réelle du travail incorpore le travailleur dans la totalité capitaliste par une mode plus complexe que le sobsomption formelle, parce que son existence dedans aussi bien que du dehors de production est sobsomée sous le capital. Dans la manufacture, même aussi la manufacture capitaliste, le travailleur utilise les moyens, mais dans l'industrie et dans l'usine le travailleur est utilisé par les moyens. Marx l'exprime comme l'inversion du subjet et objet et dans le sobsomption formelle cette inversion ne devient pas une réalité concrète. Il n'est pas que la capacité productif qu'incorpore le travailleur dans la materialité capitaliste, mais même aussi sa consomption. La consomption productif contribue à l'incorporation de la classe ouvrière dans le capitalisme, parce que le capital pose le travail comme nécessité et comme travail nécéssaire par la fabrication des besoins et la satisfaction de ces besoins par la consomption. La forme circulaire du circulation et production constitue, selon Bruno Gulli, une système des besoins et d'usage qui contribue a la maintenance du travailleur comme travailleur. Parce que le travailleur entre le production pour reçevoir des moyens à satisfier les besoins que la circulation des valeurs d'usages sur la marchée produce. Le concept de besoin est ainsi le lien disparaissant, the vanishing mediator, entre la circulation et la production, il est une élémente de lien qui uni la circulation et la production et simultanément est produit par elles-mêmes. La génération de besoins par la production et la circulation implique que plus en plus des marchandises est incorporé dans la prix de la réproduction nécessaire. Une production des marchandise en accélerant nécessite une consomption prolongé. Que plus en plus des travailleurs globallement avoir des voitures, des mobilophones et des télévisions n'est pas une signe de moins en moins exploitation. Cependant, ce fait ne devient impliquer pas la contraire, les forces du production rendrent meilleur marché des marchandises, ainsi la force du travail aussi, nécessite le capital la vente de richesse à les travailleurs par leur appauvrissement valeur. Le valeur de la force du travail est réduit par la productivité prolongé du travail et simultanément plus en plus de la consomption du travailleur devient productif. Le sobsomption réelle sous le capital rend un production en série plus prolongé et meilleur marché, par la nécéssité du révolution et évolution constamment des forces productifs en capitalisme. Cette production des marchandises meilleur marché élarge relativement la taille des fonds de travail. Ainsi, la sobsombtion de la force du travail contribue réellement et immédiatement à la fonctionne plus en plus productif de consomption parce que plus en plus des marchandises devient utile (fonctionne comme valeur d'usage) et ainsi la force du travail est maintené comme travail nécessaire et ainsi comme agent pour la consomption productif.

7. La critique de la système industrielle est progressive est projectif. Elle est en effet une critique de l'actualité de la production capitaliste comme production industrielle à grand échelle et comme l'usine social, mais pas comme la crainte révérentielle de les modes des productions passé et passant qui est réactionnaire, mais pour décrire la charactère specifique capitaliste du procès de production. Les rapports sociales du capitalisme n'est pas ainsi extérieur en rélation de la production en sèrie d'usine, même ils ne coïncide pas, ils ne devient pas identique. Marx souligne la manière que la division du travail capitaliste signifie son production, mais simultanément il insiste aussi que cette characteristique n'est pas un nécéssité technologique ou des accidents sociales. C'est la fonctionne de la procès de production industrielle comme procès de valorisation, qui détermine son technologie comme capitaliste, mais simultanément la système industrielle est dévéloppé par la dévéloppement du capitalisme. Ainsi, les déterminations abstraites du capitalisme est la problématique première du capitalisme, mais ces catégories abstraites déterminent l'apparition concrète et factuelle de la production.

8. Le caractère fétiche de la marchandise cache le fait que des marchandises sont produits pour échange seulement parce qu'ils sont des valeur d'échange. La fétichisme mystifie la substance du capital, travail social et abstraite (valeur), et le rapport social spécifique qui fonde le travail comme abstraite, c'est-à-dire le faire substantiel. Le caractère sociale du travailleur et les rapports entre travailleurs métamorphose à une apparition comme rapports entre des produits, c'est-à-dire comme rapports entre valeurs d'usage. Ainsi, la fétichisme implique la réification des rapports socials qui détermine la travailleur à travail et ainsi la réification de le fait que pose des produits comme valeurs d'echange: l'échange. Cependant, les rapports illusoires de la fétichisme est un procès objective qu'inverte la subjectivité humaine, il qualifie la conscience humaine à une cognition réifié et partielle. Les producteurs (leur travail privé constitue ensemble un travail total et social) rencontrent autres producteurs dans l'échange des produits de travail. Ainsi, l'apparition du capitalisme apparaît comme réification en fait et comme nécéssité il cache l'essence intérieur et réelle du capital. Si nous comprenons le capital comme actualité, il est un rapport causal entre des choses, où des argents est la fonde de cette coexistence. L'argent devient la substance, la raison pour même la cause, même l'effet dans la coexistence où chaque mutualité des rapports est réifié par la valeur d'échange. Cependant, la réification du production par la fétichisme apparaît comme réalité concrète premièrement avec le dévéloppement de la système industrielle, mais pas parce qu'un détérminisme technologique mais parce que cette transition est la transition au sobsomption réelle du travail. La transition qu'implique que la production devient capitaliste.

9. La production de marchandises est la production pour autres, parce que la marchandise est un rapport contradictoire et fundamentale. La qualité d'une marchandise est son valeur d'usage, l'utile de la marchandise. Le valeur d'usage comme la qualité de la marchandise est comparable à la discussion par Hegel sur la première forme d'être (Sein), pour la qualité détermine Sein à Da-sein. Un être est déterminé par son qualité à une marchandise spécifique, la qualité il détérmine pour un être spécifique. Ainsi, d'une parte la quantité est l'esclave de la qualité, parce que dans l'échange factuel la forme de la valeur est réflécté à la dimension utile de la marchandise, parce que son échangabilité est fondé de son utilité pour autres. Utilité pour autres est la spécificité d'un valeur d'usage comme valeur d'usage social. Le valeur d'échange détermine l'être naturelle de la marchandise comme une être sociale, comme un valeur d'usage pour autres. Pour le propriétaire, le valeur d'usage est ainsi seulement un moyen pour échange, un non-valeur d'usage. C'est pour cette raison que Marx différencie la concept de valeur d'usage comme natürliche Dasein, être naturelle, et valeur d'usage comme utilité sociale, c'est-à-dire comme utilité pour autres. !!Le valeur d'usage comme être naturelle est une rapport singulaire, le valeur d'usage est le même valeur d'usage. Mais quand la marchandise rend le valeur d'usage échangable par son non-singularité, c'est-à-dire comme valeur d'échange, le rapport singulaire transforme à un rapport non-singulaire par la différence entre valeurs d'usages et le valeur d'usage devient pour autres. La similarité interne, les choses uniques et incomparable, leur singularité, est distingué à un similarité extérieur et nivellant qui est different comme le degré de travail qui est accumulé dans elle-mêmes.!! La difference qualitatif des choses devient la difference quantitatif des marchandises.

10. Le valeur d'usage est la corollaire de le valeur d'échange, une caractère qu'être dépendant sur le valeur d'échange et ne pas la « bonne » dimension de la marchandise. Si le valeur d'échange fonctionne potentiellement, c'est-à-dire seulement en échange, le valeur d'usage est réalisée premièrement dans usage social et dans consommation. Ce fait propose la différence entre une existence naturelle et le valeur d'usage, où l'usage n'est pas seulement usage-pour-autres. Le valeur d'usage et le valeur d'échange sont des factores sociales déterminés par l'existence de marchandises sur un marché. Le valeur d'usage est la fonctionne de la marchandise détermine comme utilité.

La réification de les rapports humains par la caractère fétiche de la marchandise ne se lève pas de le valeur d'usage de la marchandise, mais ni de le valeur d'échange. Son pouvoir mystificatoire se lève de la forme de la marchandise même; de la forme de la produit comme marchandise, son fonctionne double comme valeur d'usage aussi bien que valeur d'échange. Le valeur d'usage participe dans la fétichisme marchandise par son apparition comme utilité absolu émanant de la chose elle-même. Le valeur d'usage cache le fait que des concepts « utilité » et « usage » sont caractères sociales, des rapports que n'est pas réducible à le pouvoir d'une chose. Le valeur d'usage comme l'utilité absolu de la marchandise, le caractère absolu de la marchandise pour satisfier des besoins humains, est un caractère reifié; un caractère que se lève de la réification des rapports socials par le fétichisme de la marchandise. Les dimensions de la marchandise, valeur d'échange aussi bien que valeur d'usage, produissent un conception absolu d'usage et d'utilité, et établissent un conception a-historique des conditions sociales spécifique pour capitalisme, c'est-à-dire l'échange. Ainsi, la critique de la forme de la marchandise ne peuve pas rester à le valeur d'échange, mais faut devient un critique de la fonctionne sociale du valeur d'usage, comme utilité absolu et comme usage-pour-autres. Ainsi, la critique de la forme de la marchandise faut coïncider avec la critique de la société materiale que transformes des hommes aux des travailleurs et la résistance de l'ouvrière contre le caractère sociale et utile de son travail privé.

Gemeinwesen

1. La première forme de l'essence, la reflection, est une forme posant. Elle pose son contraire, son Schein. La lutte des classes est la Schein de la valorisation, son non-essentielle, inclut comme négation. Si notre point de départ est le fait de la valorisation, regulant du travail comme non-capital et capital comme non-travail, il implique que ni le capital ni le travail est actif ou réactif dans la contradiction entre ils-mêmes. Les stipulations de travail comme actif, forcer le capital à agir, ou le contraire, le capital force le travail à agir, c'est-à-dire que le prolétariat est réactif, pose la même problématique. Cette problématique élude le rapport que produit la possibilité d'un contradiction entre ils-mêmes et la consideration d'un des poles comme actif. Ce rapport est la valorisation, c'est-à-dire la lutte des classes. Si nous comprenons le travail et le capital comme déterminations pré-existant, nous arrivons trop tard, leur existence à côté de l'un l'autre ne precède pas le rapport qu'ils pose comme antagonistes. Chacun analyse qui prend pour point de départ un de ces poles devient une analyse proclamant un de ces poles comme établissant du rapport. En fait, la contradiction elle-même est la fondation que fonde l'identité respectif du travail et du capital comme éxistant. Logiquement, la lutte des classes, la valorisation, apparaît avant l'existence du travailleur och du capitaliste quand le capital devient synchronie, devient totalité. La lutte des classes jette des personnes en classes, en conflit, parce que le capital potentialise et téleologise leur existence. C'est le rapport entre travail et capital qui est le rapport du capital et ainsi produit le capital et le travail. La contradiction antecède les poles antagonistiques de la contradiction. Ainsi, la question d'une première force, d'une force actif et constituant, devient une réclamation métaphysique et vide.

2. La classe ouvrière, le travail-pour-soi, agit dans la production à capital et comme un partie de capital mais ce possibilité à agir, sa fonctionne vivant, devient à un possibilité de fonctionner hostile à capital même sur la sobsomption réelle. La classe ouvrière est dans et contraire à capital. Avoir contraire resulte à une autonomie contre le capital, parce que son subjectivité, sa fonction comme non-capital, n'épuise jamais la classe ouvrière dans le travail. Mais l'autonomie est posée en la fonction du classe ouvrier comme non-capital, un rapport nécessaire et interne à capital. L'éxteriorité est interne. Cependant, ceci ne gêne pas la rélation extérieure entre le travail et le capital d'établir un éxterieur, une composition politique où le travail peut diriger sa lutte et ses revendications au capital. Le lutte ouvrier, dirigant negativement et critiquant vers la capital, reste dépendant à l'existence de capital comme pole (pas nécessairement comme classe, comme personification) parce que son autonomie est posée du rapport, la valorisation, qui précède les deux poles. Le dépendence logique de travail à capital ne nie pas la réalité ou l'antagonisme du conflit; il signifie seulement que la lutte de classes, du côté de la classe ouvrière, en sa qualité de lutte d'intérêt pour sa fonction en tant que travail-pour-soi, ne peut pas surmonter le conflit.

Une lutte de classes que ne surmonte pas, que ne dépasse pas, la dialéctique qui joint le travail et le capital en contradiction, ainsi approfondit seulement le rapport qui établisse l'identité de travail, en d'autres termes, l'altérité du travail, la contradiction contre et la non-identité avec capital. Il force le capital à encore un autre cycle de la crise. Et la crise et la cycle de vie pour le capital. Comme conséquence, un lutte de classes qui est emprisonné dans la lutte revendicative du capital variable, c'est-à-dire la lutte revendicative de prolétariat, medié ou non, être pour-soi incapable de surmonter la contradiction entre capital et travail. C'est parce que la politique dépend du capital, puisque la composition technique qui la fabrique enferme la composition politique de la classe dans une dialectique qui transforme seulement le politique et le technique dans un effet très dialectique, mais ne tend jamais à le retirer. La contrainte du capital est capital il-même. Une lutte de classes qui ne veut jamais se casser vers le haut, seulement pour continuer à combattre, ne pourra jamais annihiler le capital.

3. Parce que le capital est lutte de classes, il est la contradiction est la fondation qui pose travail et capital en un rapport binaire, il n'y a pas un résultat immanent dans la contradiction première – le conflit entre la classe ouvrière et la classe capitaliste comme pour-soi-êtres – qui tend à son dépassement, le seul résultat qu'existe dans ce conflit intern est la permanence de ses conditions dialéctique: travail comme travail et capital comme capital. La possibilité pour dépasser la logique dicotomique entre capital et travail ne reste pas dans la non-identité de travail à capital qua l'identité de travail, dans la contradiction première entre travail et capital. La possibilité reste dans les essais de prolétaires réels à émanciper elles-mêmes de sa fonctionne comme travail-pour-soi, c'est-à-dire leur doubler de la lutte de classes, leurs tentatives de viser la lutte contre le capital et le travail. [Non fini.]

1)
Karl Marx, Le Capital vol. 1, p. !!???!!